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Académie Centennial: un environnement adapté aux élèves en difficulté
Académie Centennial: un environnement adapté aux élèves en difficulté

L’Académie Centennial à Montréal accompagne les jeunes avec des difficultés d’apprentissage, en offrant un environnement de travail adapté à leurs besoins pour assurer l’obtention d’un diplôme d’études secondaires.

En cinq ans, 80% des élèves de l’Académie Centennial obtiennent leur diplôme d’études secondaires, contrairement à 40% dans des programmes similaires dans le secteur public.

L’école privée offre des programmes en français et en anglais pour les élèves à besoin particulier. Bien que l’école soit adaptée pour les jeunes avec des troubles d’apprentissage, ceux-ci doivent effectuer les examens du ministère, de la même manière que les programmes réguliers.

«Nous, on croit à la conception universelle de l’apprentissage, mais cela doit être un élève qui a la capacité d’obtenir leur diplôme», précise le directeur adjoint de l’Académie Centennial, Marco Plamieri.

Les enseignants s’adaptent aux différents profils d’élèves pour assurer la réussite de tous. «Sachant que j’ai un élève avec un spectre de l’autisme ou un élève dyslexique, je prévois mon matériel en conséquence, en incluant tous ces profils particuliers pour assurer la réussite de ma classe», commente une enseignante à l’Académie Centennial, Laura Grimaud.

Afin d’assurer la réussite académique des élèves, des espaces sont dédiés à leurs besoins spécifiques. Ils peuvent se retirer à tout moment dans une salle à niveau ou dans une salle de bien-être accompagné d’un intervenant pour diminuer les stimulus. «Ils peuvent lever la main et dire qu’ils ne se sentent pas bien à ce moment-ci. Nous avons des stratégies pour aider l’élève à aller mieux et reprendre sa journée», poursuit l’enseignante.

L’Académie Centennial reçoit une subvention gouvernementale pour le programme anglophone, ce qui n’est pas le cas pour celui francophone.

Les familles francophones paient 22 000$ annuellement en frais de scolarité, sans possibilité de bourses.

«Si on reçoit des subventions, on pourrait avoir plus de bourses pour le secteur francophone», conclut la directrice générale de l’Académie Centennial, Angela Burgos.

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