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Pourquoi tant d’élèves brillants, dans la moyenne, échouent-ils au secondaire?
Pourquoi tant d’élèves brillants, dans la moyenne, échouent-ils au secondaire?

Votre enfant réussissait bien à l’école primaire, mais peine soudainement à suivre au secondaire? Il n’est pas seul. De nombreux jeunes, qui géraient plutôt bien leur parcours scolaire jusqu’à la fin du primaire, voient leurs résultats chuter et leur motivation s’éroder dès leur entrée au secondaire. Mais pourquoi?

Et si l’échec n’était pas dû à un manque d’intelligence ou à une matière trop difficile, mais plutôt à un changement drastique des conditions d’apprentissage?

Une transition sous-estimée

À l’école primaire, les journées sont structurées, les routines prévisibles. Les élèves passent la majorité de leur temps dans la même classe, avec un seul enseignant principal. Les livres restent dans leur pupitre, et les exigences en matière d’organisation et de planification sont minimes. Dans ce cadre rassurant, les défis liés aux fonctions exécutives (planification, organisation, gestion du temps) sont atténués.

Mais au secondaire, tout change.

Les élèves doivent naviguer dans un horaire complexe, passer d’une classe à l’autre, gérer un casier, suivre les consignes de plusieurs enseignants aux approches différentes. Leur charge cognitive explose, alors même que leur cerveau n’est pas encore prêt à répondre à de telles exigences.

Le cerveau en développement

En 1995, le chercheur Laurence Steinberg a démontré que la partie du cerveau responsable des fonctions exécutives, celles qui nous permettent de planifier, d’organiser, de prendre des décisions, commence véritablement à se développer vers l’âge de 12 ans et ne parvient à maturité qu’à 24 ans.

Ce n’est donc pas étonnant que tant de jeunes peinent à fonctionner dans un système qui exige dès le secondaire une autonomie cognitive qu’ils ne sont pas biologiquement prêts à exercer.

L’approche Centennial : réduire les obstacles, pas les attentes

À l’Académie Centennial, nous avons décidé de relever ce défi de manière innovante. Plutôt que de modifier le programme, une solution qui limite souvent les possibilités d’avenir des élèves, nous avons choisi de réduire les obstacles liés aux fonctions exécutives tout en conservant le programme régulier.

Cela signifie une routine claire et stable, des attentes cohérentes d’un enseignant à l’autre, des outils concrets pour aider les élèves à s’organiser, un environnement structuré qui apaise plutôt que de stresser.

Et les résultats sont là. Les apprentissages s’améliorent, la confiance revient, les jeunes se remettent à croire en leur réussite.

Une autre voie est possible

Si votre enfant risque de redoubler son année, pourquoi ne pas explorer une autre approche?

Venez visiter l’Académie Centennial et découvrez comment un encadrement structuré, bienveillant et adapté au développement réel du cerveau peut faire toute la différence.

Parce que tous les élèves méritent une chance réelle de réussir.